Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-28%
Le deal à ne pas rater :
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
279.99 € 390.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 Une arrivée fracassante et un départ qui tue !

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
PersonnageContenu du Message

avatar



Aoki D. Ishii

Colonel


Messages : 17
Date d'inscription : 08/07/2011


Feuille de Personnage
Niveau:
Une arrivée fracassante et un départ qui tue ! Left_bar_bleue25/100Une arrivée fracassante et un départ qui tue ! Empty_bar_bleue  (25/100)
Expérience:
Une arrivée fracassante et un départ qui tue ! Left_bar_bleue0/1000Une arrivée fracassante et un départ qui tue ! Empty_bar_bleue  (0/1000)
Equipage: /

Une arrivée fracassante et un départ qui tue ! Empty
MessageSujet: Une arrivée fracassante et un départ qui tue !   Une arrivée fracassante et un départ qui tue ! Icon_minitimeVen 12 Aoû - 6:41

Une arrivée fracassante et un départ qui tue !
Leçon de morale !
═══════════════════════════════════════════════════════════════

"La connerie absolue n'existe pas car, à partir d'un certain degré, le con cesse d'être rentable ! "

Copain comme cochon
Après avoir était envoyé à South Blue dans le G-33, pour essayer les nouveautés navales. J'ai donc, continué mon chemin vers d'autre horizon, vers d'autres lieux. Surtout, j'ai suivi les ordres de mes supérieurs. Je fus envoyé, pas loin de South Blue, sur une île ou plutôt ; je dirais-je... un trou paumé. Je ne savais même pas où, j'étais assigné. But de la mission ; je suis envoyé en éclaireur, en douce sur une île pas loin de Jack Island, sous le contrôle d'un équipage pirate qui sème la terreur dans tout le pays. Bon moi, je n'y crois pas trop, hum ? Entre ce que l'on dit et ce qu'ils font. Il y a une marge d'erreur. Bon, bref, j'étais assigné à une mission de reconnaissance. Obtenir des informations sur de petits pirates. Me déplacer pour ça ! Heureusement, j'avais de trois matelots pour m'accompagner.

Le lendemain, j'étais déjà parti ; chez les Marines, on ne perd pas de temps. Cela faisait maintenant, trois jours que je venais de dire en revoir à la belle et charmante Nova et mon autre ami Shirai. Nous sommes partis sur un bateau de petite taille ; les voiles blanches comme la neige, une proue en forme d'aigle ; et une coque de couleur brune, ce qui met en valeur l'aigle de couleur jaune. Il se nommait l'Aigle Noir. Je suis chiant à toujours ramener toujours mon grain de sel, mais l'aigle est jaune sur la proue.
Le voyage ne fut pas très long, deux à trois jours. Pendant, ce laps de temps, j'ai confectionné mes armes ; j'ai amélioré mon armement, enfin amélioré c'est vite dit. J'ai juste, astiqué et refait quelques circuits. En arrivant sur l'île, je n'y croyais pas du tout. C'était le plus gros trou paumé que je n'ai jamais vu ! Je comprends pourquoi, ils ont choisi cette île. En regardant devant moi je ne vis que des arbres, des feuilles et de l'herbe !

Je fis signe à mes trois compagnons de l'élite Marine de me suivre. Nous commencions notre fameuse expédition commando. Les trois comptèrent qui m'accompagnaient, étaient habillés de tissu s'accommodant à la nature. Des branchages sur le crâne et des équipements fusils et dagues en tout genre. Et Oui ! Nous voilà bel et bien parti ! Je me demandais encore pourquoi j'ai fait Marine et pourquoi pas pirate tient ! Je pourrais me cacher sur des îles comme celle-ci.

Nous avons pénétré la forêt en toute discrétion. Nous avons bouffé les plantes et herbes de cette jungle. Les moustiques présents par milliers, nous, piquaient les uns après les autres. Cependant, je fis une découverte incroyable ; cette île paumé, c'était transformé en... en ville ! La ville c'était centralisée dans le centre de cette île perdu. Des gardes, des militaires, des hommes armés jusqu'aux dents. J'arrivais devant la porte d'entrée de l'enceinte, les gardes ne firent pas un geste et nous, laissèrent passer. Je trouvais ça vraiment bizarre. Je suis donc passé sans tracas. J'ai donc cherché ensuite, un poste Marine ou quelques choses dans le genre. Pas malheur, rien, rien du tout ! Je suis donc rentré ensuite dans une auberge. Après avoir parcouru la ville de tout son long ; certains détails me tapèrent dans l'œil. Déjà ; d'une tout est précaire, les habitations sont à-moitié finies, les habitants sont habillés comme au siècle dernier et surtout l'hygiène de vie, 4 % des gens ici connaissent.

En entrant dans le bar, qui servait de logis aussi ; je vis des hommes brayer, crier, beugler. C'était la pagaille. En regardant un homme debout sur la table en train de danser. Il disait des mots ayant ni queue, ni tête. Comme si, ici, sur ce petit îlot de South Blue, la civilisation ne c'était pas développé. Sur une table au fond du bar, je vis un homme qui regardait par la fenêtre et qui m'avait l'air normal. Dans cette ville avec ce que je viens de vous décrire. Essayez d'imaginer ce que veut dire « Normal ». Je m'assis à sa table et commença une conversation.

- Bonjour, interpellai-je. Vous êtes un touriste où un autochtone ?

Il se remit en position pour me parler. Il avait un nez rouge comme une tomate. Les cheveux blancs comme le sel. Il me regarda dans les yeux et injecta :

- Alors, vu cette question pour ma part idiote, j'en conclue que vous êtes un touriste. D'où viens-tu l'ami ?

Je l'observais, j'avais qu'une seule envie ; c'était de lui décocher une grande droite dans la gueule. Il était mal aimable et désobligeant et surtout, il puait. Je repris la parole par simple politesse.

- Alors, je viens de South dans un quartier à quelques jours de bateau d'ici. Et je suis....

Il me coupa et me posa des questions auxquelles, je ne pouvais pas répondre.

- A tu as un équipage ? Des hommes ? Une prime ? Dit moi tout l'ami, on est entre pirate.

Lorsqu'il me dit cela, je n'avais qu'une envie, c'était de l'arrêter pour outrage à la justice, même s'il n'avait fait que parler. A force de parler, de jacasser d'ouvrir la bouche, je sentais que cela allait mal finir pour moi. Sur cette phrase 17 mots, j'aurais pu mourir. A ce moment-là ; j'ai répondu sans réfléchir :

- Pirate moi, t'es fou ou quoi ?

Au début, j'ai pris en ton pour permettre au vieux de prendre ma rhétorique sous le ton de la plaisanterie. N'avait-il pas d'humour ou trop je ne sais pas, mais la séquence qui va suivre va s'annoncer très mal. Avis aux âmes sensibles !

Attention, c’est parti, tout se déroule sur un laps de temps… Le vieux me regarde d’un œil très ; mais très ahurit. Il m’interroge :

- Comment ça t'es fou ? T'es qui en plus, on ne t'a jamais vu ici ; t'es un Marine !

Je ne sais pas ce qui s'est passé, il s'est passé 3 secondes, le temps d'un regard entre le vieux truand et moi. Juste, le temps de voir sur mon visage que je ne pouvais pas dire que j'étais un pirate. Et me voilà donc parti dans une course folle. Le pirate à la retraite, cria comme un loup en chaleur :

- MARINE !!!! MARINE !!! MARINE !!!

Le bruit infernal se stoppa, les danses de fou aussi, les yeux braqués sur moi. Je n'eus qu'un seul et unique réflexe. Voyant la fenêtre juste à un mètre de moi, je pris mon élan, pour pouvoir sauter à travers. Un pied sur le rebord de celle-ci et me voilà, partie. Enfin c'est vite dit. Les gens gueulaient (Les gens, les gens, c'est vite, ce sont des pirates, pas des gens). Les trois hommes qui m'accompagnaient, eurent le même réflexe ; courir ! L'un des deux me regarda comme si, j'avais fait quelques choses. Je lui dis tout bas, qu'ils étaient très susceptibles. Je pense que je n'avais jamais couru comme cela. Un sprint sur au moins deux voir trois kilomètres. Les pirates derrières nous hurlaient comme des veaux. Nous arrivions, au niveau de la forêt que nous venions de traverser quelques heures auparavant. On pédalait des pieds. On prenait les branches, les uns après les autres dans la figure. Mon devoir en tant que colonel, ici, était de protéger, les deux comptèrent de l'élite Marine (Soi-disant !). Nous nous mangions toutes les branches qui arrivaient à la hauteur de notre tête. Soudain, lueur d'espoir, l'obscurité et l'humidité de la forêt allaient disparaitre sous la clairvoyance et la chaleur tapante de la page. En arrivant, sur la plage, je voulais plonger dans l'eau pour rejoindre le bateau, plus loin accosté à quelques mètres de la plage. Dans la précipitation, je pris le boute qui raccordait le radeau au pieux qui le tenait. Les hommes sautèrent dans le bateau et prirent les rames et commencèrent à ramer.

Les truands pas fous à ce point-là ou presque ne se mirent pas à me courser dans l'eau. Mais prirent leurs fusils et pistolet et armèrent ; leurs artilleries crachèrent le feu. J'étais debout dans la barque. L'une des balles tirées, me traversa le corps et une autre et une autre encore ! A la fin, nous arrivions au niveau du bateau. Nous montâmes dedans et je n'avais qu'une intention, c'est d'aller me plaindre ; d'avoir reçu une mission foireuse ! Je repris l'acte de mission et la relit bien. Tout était comme c'était au départ. Sauf, une chose que je n'avais pas remarquée : en tout petit ; village de pirate.
Cette histoire est une bonne anecdote à raconter aux enfants pour qu'ils puissent dormir le soir. Mais, je vous dis que, franchement, cela ne fait pas de plus belle effet au niveau de l'administration ! Et surtout, je lirais les actes de mission avec la plus grande concentration et surtout sans prendre, les missions à la légère !

Revenir en haut Aller en bas
 

Une arrivée fracassante et un départ qui tue !

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Les Blues - Les Quatre Océans :: South Blue :: Jack Island-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit